Résumé de la loi 1 sur le marchand de Venise

Shakespeare Le marchand de Venice est une pièce fantastique et possède l'un des méchants les plus mémorables de Shakespeare, le prêteur d'argent juif, Shylock.

Cette Marchand de Venise Le résumé de l'Acte 1 vous guide à travers les scènes d'ouverture de la pièce en anglais moderne. Ici, Shakespeare prend le temps de présenter ses personnages principaux - notamment Portia, l'une des parties féminines les plus fortes de toutes les pièces de Shakespeare.

Acte 1 Scène 1

Antonio parle à ses amis Salerio et Solanio. Il explique qu'une tristesse lui est venue. Ses amis suggèrent que sa tristesse pourrait être due au fait qu'il s'inquiète de ses entreprises commerciales. Il a des navires en mer avec des marchandises et ils pourraient être vulnérables. Antonio dit qu'il n'est pas inquiet pour ses navires parce que ses marchandises sont réparties entre eux et si l'un tombait, il aurait toujours les autres. Ses amis suggèrent qu'il doit ensuite être amoureux, Antonio nie.

Bassanio, Lorenzo et Graziano arrivent alors que Salerio et Solanio partent. Lorenzo dit que maintenant Bassanio et Antonio ont été réunis, ils prendront leur congé mais s'arrangeront pour se retrouver plus tard pour le dîner. Graziano essaie de remonter le moral à Antonio mais en vain, il dit à Antonio que les hommes qui essaient d'être mélancoliques pour être perçus comme sages sont trompés. Graziano et Lorenzo partent.

Bassanio se plaint que Graziano n'a rien à dire mais n'arrête pas de parler. «Graziano ne parle de rien» (Acte 1, scène 1)

Antonio demande à Bassanio de lui parler de la femme pour laquelle il est tombé amoureux et a l'intention de poursuivre. Bassanio reconnaît qu'il a emprunté beaucoup d'argent à Antonio au fil des ans et promet de lui rembourser ses dettes:

À toi, Antonio, je dois le plus d'argent et d'amour, et de ton amour j'ai la garantie de décharger tous mes complots et de me débarrasser de toutes les dettes que je dois.
(Acte 1 scène 1).

Bassanio explique qu'il est tombé amoureux de Portia l'héritière de Belmont mais qu'elle a d'autres prétendants plus riches, il veut juste essayer de rivaliser avec eux pour gagner sa main. Il a besoin d'argent pour y arriver. Antonio lui dit que tout son argent est immobilisé dans son entreprise mais qu'il se portera garant de tout prêt qu'il pourra obtenir..

Acte 1 Scène 2

Entrez Portia avec Nerissa, sa femme qui attend. Portia se plaint d'être lasse du monde. Son père décédé a stipulé, dans son testament, qu’elle ne pouvait elle-même choisir un mari.

Les prétendants de Portia auront le choix entre trois coffres; un or, un argent et un plomb. Le coffre gagnant contient un portrait de Portia et en choisissant le bon coffre, il gagnera sa main en mariage. Il doit accepter que s'il choisit la mauvaise poitrine, il ne sera pas autorisé à épouser quelqu'un.

Nerissa répertorie les prétendants qui sont venus à deviner, y compris le prince néopolitain, le comté palatin, un seigneur français et un noble anglais. Portia se moque de chacun de ces messieurs pour leurs défauts. En particulier, un noble allemand qui était un buveur, Nerissa demande si Portia se souvient de lui, elle dit:

Très vilain le matin quand il est sobre, et surtout viley l'après-midi quand il est ivre. Quand il est meilleur, il est peu pire qu'un homme, et quand il est pire, il n'est guère mieux qu'une bête. Et la pire chute qui soit jamais tombée, j'espère que je vais changer pour partir sans lui.
(Acte 1 scène 2).

Les hommes énumérés sont tous partis avant de deviner de peur de se tromper et de faire face aux conséquences.

Portia est déterminée à suivre la volonté de son père et à gagner de la manière dont il le souhaitait, mais elle est heureuse qu'aucun des hommes qui sont venus n'a réussi.

Nerissa rappelle à Portia un jeune homme, un érudit vénitien et un soldat qui lui a rendu visite lorsque son père était vivant. Portia se souvient affectueusement de Bassanio et le croit digne d'éloges.

On annonce que le prince du Maroc vient la courtiser mais elle n'en est pas particulièrement heureuse.