«La route» de Cormac McCarthy

Ajouter le post-apocalyptique La route à la liste croissante de chefs-d'œuvre de Cormac McCarthy. Il combine les méditations concises mais poétiques sur les profondeurs horribles de la dépravation humaine de son Méridien de sang avec l'écriture tendue et thriller trouvée dans son, Il n'y a pas de pays pour les vieillards. Ce qui sépare La route de ses autres œuvres est la capacité de McCarthy à capturer des moments de beauté lyrique et émotionnelle dans la relation hantée d'un père et d'un fils alors même qu'un nuage silencieux de mort couvre le monde dans l'obscurité.

Synopsis de «La route»

  • Un homme sans nom et son fils se rendent sur la côte à la recherche de nourriture, d'un abri et d'un signe de vie.
  • Les rencontres avec d'autres humains sont des affaires dévastatrices de cruauté, de sauvagerie ou de désespoir.
  • Même dans une lutte apparemment désespérée pour son fils, le père remarque des moments qui apportent de la chaleur.
  • Bien que fatigués, les moments de chance ou de providence semblent les rattraper avant que l'emprise de la mort puisse s'installer.
  • La route ne se détourne pas de l'horreur ultime mais ne cache pas non plus l'amour provocateur.

Avantages

  • Sears sa marque dans votre esprit de la première phrase aux semaines après l'avoir posée.
  • Révèle la force de l'amour d'un père pour son fils dans les circonstances les plus sombres.
  • Écrit par un maître auteur qui sait faire en sorte que chaque mot compte.
  • Implique un monde post-apocalyptique qui est effroyablement réalisé.

Les inconvénients

  • Recommandé uniquement pour les lecteurs âgés et audacieux.

Examen complet de «The Road»

"Quand il se réveillait dans les bois dans l'obscurité et le froid de la nuit, il tendait la main pour toucher l'enfant dormant à côté de lui."

Un père et son fils s'efforcent de survivre dans un désert qui était autrefois un pays qui était la nation la plus prospère du monde. Il ne reste que des cendres, flottant et tombant lorsque le vent choisit de ne pas respirer. C'est le cadre de La route, un voyage de survie que seul Cormac McCarthy pouvait imaginer.

McCarthy sculpte ce monde dans un lyrisme dur et austère réservé à ceux qui disent une prophétie sans faille. Le père et le fils sont entourés d'un cauchemar et ont peur des autres lorsqu'ils dorment. Ils sont toujours affamés, toujours vigilants, n'ayant qu'un chariot d'épicerie avec quelques couvertures et un pistolet à deux balles, soit pour se protéger contre l'humanité cannibale qui suit leurs traces, soit pour que le père finisse leur vie avant que le désespoir ne les consume tous les deux..

Alors qu'ils se rendent sur la côte à la recherche de quelque chose, le père dit au garçon qu'il vaut mieux faire des cauchemars parce que lorsque vous commencez à rêver, vous savez que la fin est proche. McCarthy permet au lecteur de rêver pour eux, en s'efforçant avec eux jusqu'à une conclusion qui murmure, sous la douleur et la futilité, d'une souveraineté plus ancienne que la destruction qui se profile jamais dans le monde.

La route est une œuvre brutalement étonnante. Si votre club de discussion sur les livres est prêt pour les thèmes sombres, c'est un livre qui vous laissera vouloir en discuter avec d'autres. L'adaptation cinématographique est également disponible pour ceux qui préfèrent ce support. Consultez nos questions de discussion pour The Road pour guider votre exploration du livre plus loin.