Histoire des Jeux olympiques de 1976 à Montréal

Les Jeux olympiques de 1976 ont été entachés de boycotts et d'allégations de drogue. Avant les Jeux Olympiques, l'équipe de rugby de la Nouvelle-Zélande a fait une tournée en Afrique du Sud (toujours embourbée dans l'apartheid) et a joué contre eux. Pour cette raison, une grande partie du reste de l'Afrique a menacé le CIO d'interdire la Nouvelle-Zélande des Jeux Olympiques ou de boycotter les Jeux. Étant donné que le CIO n'avait aucun contrôle sur le jeu du rugby, le CIO a tenté de persuader les Africains de ne pas utiliser les Jeux olympiques comme représailles. Au final, 26 pays africains ont boycotté les Jeux. De plus, Taiwan a été exclue des Jeux lorsque le Canada ne les a pas reconnus comme la République de Chine.

Allégations de drogue

Les allégations de drogue sévissaient à ces Jeux olympiques. Bien que la plupart des allégations n'aient pas été prouvées, de nombreuses athlètes, en particulier les nageuses est-allemandes, ont été accusées d'utiliser des stéroïdes anabolisants. Lorsque Shirley Babashoff (États-Unis) a accusé ses rivales d'utiliser des stéroïdes anabolisants en raison de leurs gros muscles et de leurs voix profondes, un responsable de l'équipe est-allemande a répondu: "Ils sont venus nager, pas chanter".

Implications financières

Les Jeux ont également été un désastre financier pour le Québec. Depuis que le Québec a construit, construit et construit pour les Jeux, ils ont dépensé l'énorme chiffre de 2 milliards de dollars, ce qui les a endettés pendant des décennies. Sur une note plus positive, ces Jeux Olympiques ont vu la montée de la gymnaste roumaine Nadia Comaneci qui a remporté trois médailles d'or. Environ 6 000 athlètes ont participé, représentant 88 pays.

La source

  • Allen Guttmann, Les Jeux olympiques: une histoire des jeux modernes. (Chicago: University of Illinois Press, 1992) 146.