Si vous êtes un visiteur au Canada, vous êtes autorisé à apporter une petite quantité d'alcool (vin, liqueur, bière ou panachés) dans le pays sans avoir à payer de droits ou de taxes à condition que:
Veuillez noter que les règles changent, alors confirmez ces informations avant de voyager.
Vous pouvez apporter seulement un du suivant:
Selon l'Agence des services frontaliers du Canada, les quantités de boissons alcoolisées que vous pouvez importer doivent être dans la limite établie par les autorités provinciales et territoriales de contrôle des alcools qui s'appliquent là où vous entrerez au Canada. Si la quantité d'alcool que vous souhaitez importer dépasse votre exemption personnelle, vous devrez payer les droits et taxes ainsi que les prélèvements provinciaux ou territoriaux applicables. Contactez l'autorité de contrôle des alcools provinciale ou territoriale appropriée pour plus d'informations avant de vous rendre au Canada. Les évaluations commencent généralement à 7%. Vous devez rester plus de 24 heures pour apporter de l'alcool dans le pays.
Pour les Canadiens qui reviennent après un séjour aux États-Unis, le montant de l'exemption personnelle dépend de la durée de l'individu à l'extérieur du pays; les exonérations les plus élevées s'accumulent après des séjours de plus de 48 heures. En 2012, le Canada a modifié les limites d'exemption pour mieux correspondre à celles des États-Unis.
Les visiteurs sont autorisés à apporter au Canada 60 $ en cadeaux hors taxes par destinataire. Mais l'alcool et le tabac ne sont pas admissibles à cette exemption.
Le Canada définit les boissons alcoolisées comme des produits qui dépassent 0,5 pour cent d'alcool par volume. Certains produits alcooliques et viticoles, tels que certaines glacières, ne dépassent pas 0,5% en volume et ne sont donc pas considérés comme des boissons alcoolisées.
Si vous dépassez votre exemption personnelle, vous devrez payer des droits sur le montant total, pas seulement sur l'excédent. Notez que chaque exemption personnelle est par personne et non par véhicule. Vous n'êtes pas autorisé à combiner vos exemptions personnelles avec quelqu'un d'autre ou à les transférer à une autre personne. Les marchandises apportées à des fins commerciales ou pour une autre personne ne sont pas éligibles à l'exemption personnelle et sont soumises à tous les droits.
Les agents des douanes calculent les droits dans la monnaie du pays dans lequel vous entrez. Donc, si vous êtes un citoyen américain qui traverse le Canada, vous devrez convertir le montant que vous avez payé pour votre alcool aux États-Unis en monnaie canadienne au taux de change applicable..
Sauf dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut, si vous êtes un visiteur au Canada et que vous apportez plus que les allocations personnelles d'alcool énumérées ci-dessus, vous paierez les droits de douane et les évaluations provinciales / territoriales. Les montants que vous êtes autorisé à importer au Canada sont également limités par la province ou le territoire dans lequel vous entrez au Canada. Pour plus de détails sur des montants et des taux spécifiques, contactez l'autorité de contrôle des alcools de la province ou du territoire approprié avant de vous rendre au Canada. Dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut, il est illégal d'apporter plus que votre montant exonéré.
Bien qu'il y ait depuis longtemps des restrictions sur le nombre d'alcool que les visiteurs peuvent apporter au Canada, un problème croissant de hausse et de surconsommation d'alcool a sonné l'alarme au Canada. Quiconque essaie d'apporter de grandes quantités d'alcool, de vin et de bière américains moins chers pourrait être impopulaire à la frontière. Rester dans les quantités d'exemption personnelle est le chemin le plus sûr.
Depuis environ 2000 et la publication des Lignes directrices canadiennes sur la consommation d'alcool à faible risque en 2011, les premières lignes directrices nationales de ce type, de nombreux Canadiens ont pour mission de réduire la consommation d'alcool dans tous les domaines. De nombreuses recherches ont été menées sur les effets nocifs, même modérés, de la consommation d'alcool et sur les effets graves à long terme sur les jeunes adultes de 18 à 24 ans, lorsque la consommation d'alcool à risque culmine. De plus, la consommation à risque est en augmentation dans d'autres segments de la population.
Il y a eu un mouvement pour encourager une baisse de la consommation en augmentant ou en maintenant le prix global de l'alcool grâce à des interventions telles que les droits d'accise et l'indexation des prix sur l'inflation. Un tel prix, selon le Centre canadien de lutte contre les toxicomanies, «encouragerait la production et la consommation de boissons alcoolisées de faible teneur». L'établissement de prix minimaux, selon le CCLAT, pourrait "éliminer les sources d'alcool peu coûteuses souvent privilégiées par les jeunes adultes et les autres buveurs à risque élevé".
Les visiteurs peuvent être tentés d'apporter de grandes quantités de boissons alcoolisées achetées aux États-Unis, qui peuvent se vendre à environ la moitié du prix de ces boissons au Canada. Mais si cela est fait, des agents bien formés de l'Agence des services frontaliers du Canada trouveront ces marchandises et le contrevenant se verra imposer des droits pour le montant total, et non pas juste le surplus..
Si vous avez des questions ou avez besoin de plus d'informations sur l'importation d'alcool au Canada, contactez l'Agence des services frontaliers du Canada.